Côté pile, une jeune pousse sans passé et à l'avenir ouvert, en quête de capitaux propres. Côté face, une entreprise porteuse d'un projet novateur, voire révolutionnaire, susceptible de dégager une très forte rentabilité à long terme.
Au pays des start-ups…
Quelques-unes valorisées à plus d’un milliard de dollars deviendront un jour des licornes quand certaines, dites « bankable » se feront racheter par un groupe. D’autres disparaîtront, faute d’un business-model pérenne ou de capitaux suffisants.
Leur point commun ? Un besoin en financement… sans lequel innovation, disruption et développement ne seraient que vœux pieux. Vous souhaitez accompagner des entreprises dans leur développement ? Dévouvrez comment dès aujourd'hui : investir dans une startup avec Anaxago.
Pourquoi investir dans une startup ?
Les start-up figurant dans le classement FAST S500 ont vu leur chiffre d'affaires annuel bondir en moyenne de 1300 % en 4 ans ! Des résultats qui donnent le vertige et laissent entrevoir la vitalité de l'écosystème des startup hexagonales. Si ces résultats ne doivent pas occulter les risques liés à l'investissement dans une jeune pousse, ils prouvent néanmoins la rentabilité potentielle de ce type de placements.
Investir dans une start-up, c'est aussi soutenir de manière indirecte la création d'emplois en France. Pour accéder au top 5 des conseils d'investisseurs pour choisir une start-up dans laquelle investir, cliquer ici.
Les jeunes entreprises innovantes de moins de sept ans totalisent près de 12 % des créations nettes d'emplois en France, selon le cabinet d'analyses Trendeo.
L'explication ? La digitalisation de nos modes de vie, qui s'accompagne de l'émergence de métiers nouveaux, qui n'existaient pas il y a encore quelques années. Le cloud broker ou le data scientist ne vous disent peut-être rien ! Leurs compétences sont pourtant très recherchées sur le marché de l'emploi.
Investir dans une start-up : une fiscalité incitative
Plusieurs mesures fiscales encouragent la réorientation de l’épargne des particuliers vers le financement des entreprises :
- Vous avez souscrit au capital d'une entreprise française non cotée en bourse, employant moins de 250 salariés et réalisant un chiffre d'affaires annuel inférieur à 50 millions d'euros ? Le montant investi peut être réduit de votre impôt sur le revenu à hauteur de 18 % (en savoir plus : défiscalisation, réduire son impôt sur le revenu en investissant dans des sociétés innovantes). Notez toutefois que les titres doivent être conservés jusqu'à la cinquième année révolue ;
- Vous avez souscrit au capital d'une entreprise française, employant moins de 5 000 salariés et réalisant un chiffre d'affaires annuel inférieur à 1,5 milliards d'euros ? Si vous détenez vos titres via un PEA ou PEA-PME, vous serez exonéré de la fiscalité sur les dividendes et les plus-values à compter de la cinquième année révolue. Cependant, le plafond de versement est limité à 75 000 euros (en savoir plus : défiscalisation, investir avec un Plan d'Epargne en Actions).
Comment les start-up se financent elles ?
L’autofinancement
La première ressource financière d’une entreprise est sa capacité d’autofinancement. Elle correspond à la capacité de l’entreprise à dégager des ressources financières par sa simple activité. Dans le cas d’une startup, cette capacité d’auto-financement est de zéro au jour 1.
Le réseau de proximité
Famille, amis, réseau professionnels... autant de cercles à solliciter pour réunir les premiers euros lors de la création de son entreprise. C'est une source de financement souvent nécessaire mais insuffisante pour faire face aux besoins de la société nouvellement créée.
Les capitaux propres
Cette source de financement est la plus coûteuse pour l’entreprise. Les actionnaires supportent le risque le plus important en tant que créanciers résiduels de l’entreprise. En cas de problème, le recouvrement de leur apport ne se fera qu’après remboursement de tous les autres créanciers de l’entreprise (Etat, fournisseurs, banques, obligataires…).
L’emprunt bancaire
Cette source de financement est souvent préférée aux capitaux propres car moins couteuse.
Il peut s’agir de prêts bancaires classiques, d’obligations, d’obligations convertibles ou de montages plus complexes pour certaines opérations (dette sénior, dette junior et dette mézannine).
Les subventions
Bpifrance, la bourse French Tech, prêtent jusqu'à 30.000 euros.
Enfin le mode de financement de la startup par le capital-risque tend à se développer
Les startups sont évaluées avec des critères de sélection propres. Anaxago par exemple chasse et détecte les startups à haut potentiel.
Avec plus de 120 dossiers de financement reçus chaque mois, Anaxago a développé une grille de lecture et un processus de sélection complet pour éprouver et tester la solidité de chacun des projets. In-fine, ce sont moins de 3% des entreprises rencontrées qui sont présentées à l’investissement. Si les critères financiers et stratégiques sont des gages de réussite d’un projet. Elle accordera une importance significative au facteur humain qui, bien que variable aléatoire, confèrera du sens au projet sur la durée.
Notre part de responsabilités dans la sélection de projets proposés au Club Investisseurs se traduit par un investissement de nos capitaux dans chaque aventure entrepreunariale retenue.
Au-delà des statiques
L'investissement dans une startup est d'abord et avant tout une aventure humaine, aux côtés de celles et ceux qui bâtissent notre monde de demain. Une raison suffisante à elle seule pour franchir le pas ?