Revenons sur les secteurs dont le potentiel de croissance s’avère prometteur sur les prochaines années à venir.
Le private equity, appelé aussi capital-investissement, est une façon d’investir son argent ouvert depuis peu de temps aux investisseurs particuliers. Ces entreprises cherchent alors à lever des fonds auprès du grand public, car elles n’ont pas encore fait leur introduction en bourse. Il s’agit donc de participer au démarrage (capital amorçage), au développement, voire à l'internationalisation de projets menés par des startups et PME françaises ou européennes. Pour se faire, vous pouvez investir en fonds propre directement dans l’entreprise innovante qui attire votre attention, ou via des fonds de private equity. Mais à l’intérieur de ce vaste réseau de jeunes sociétés ambitieuses, il est facile de se perdre et de ne pas savoir ou réaliser le placement le plus optimal.
Ce qu’il faut savoir pour investir dans une PME non cotée
Investir dans le capital d’une entreprise à long ou à moyen terme est une solution pour varier ses valeurs mobilières et surtout, pour sortir du placement boursier. Lorsqu’un chef d’entreprise décide d’ouvrir son capital aux souscripteurs, c’est dans le but de prendre des participations financières, sans avoir à passer par un mode de financement classique. Autrefois, il convient de se rappeler que ce genre de participation à la vie de l’entreprise par soutien financier était seulement réservé aux investisseurs institutionnels.
C’est donc une opportunité qui pouvait faire peur au début, mais qui se veut désormais accessible grâce aux sociétés d’investissement qui ont créé des fonds de capital-risque ou des fonds de retournement, selon la maturité des startups, PME ou ETI financées. Les fonds créés pour de telles opérations de capital doivent disposer de l’agrément de l’AMF (Autorité des Marchés Financiers), peu importe qu’il s’agisse de :
- FCPI (fonds commun de placement dans l’innovation) ;
- FIP (fonds d’investissement de proximité) ;
- FCPR (fonds commun de placement à risque).
Ainsi, le financement des entreprises à fort potentiel de croissance peut désormais se faire en passant par la récolte de liquidités auprès de particuliers investisseurs réalisant une souscription auprès d’un gestionnaire de fonds de private equity. En soutenant l’entrepreneuriat français, vous avez là une nouvelle fenêtre qui s’ouvre à vous, idéal dans un objectif de diversification.
L’investissement dans le secteur de la fintech
La technologie financière est réellement passée à un autre stade de perfectionnement au cours de cette dernière décennie. Ce mouvement de startups que l’on appelle fintech a d’ores et déjà révolutionné notre manière de concevoir le secteur financier, grâce à toutes les nouvelles technologies développées. L’accessibilité et l’ergonomie des dispositifs mis en place autour des activités financières sont à la base de leurs ambitions.
Et cela fonctionne bel et bien, puisque la digitalisation s’est rapidement emparée de toutes les banques, de même que les moyens de paiements ont fortement évolué avec la possibilité de payer sans entrer à nouveau sa carte de crédit, grâce à des dispositifs comme PayPal ou Apple pay par exemple. De nouveaux modes de récolte d’argent ont aussi émergé pour nous simplifier la vie, notamment lorsque l’on organise un événement en commun. Nous pouvons citer Lydia ou encore Leetchi qui sont deux applications sur le créneau, mais aussi la néobanque N26 et ses sous-comptes partagés, qui a su séduire un large public d’Europe, pour ne citer qu’elle.
En définitive, il est évident que le secteur d’activité qu’est la fintech est sérieusement porteur et générateur de plus-values si l’on y apporte des liquidités. Les entreprises non cotées de ce domaine ont un potentiel de croissance exponentiel, qui pourrait même dépasser nos attentes, notamment avec l’émergence silencieuse de Nouveaux Mondes virtuels, dans le métavers.
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Apporter des capitaux aux porteurs de projets dans la proptech
Un peu dans la continuité de ce que propose la fintech pour simplifier l’usage des opérations financières courantes, la proptech s’occupe quant à elle de rendre l’immobilier plus accessible à l’aide du digital. L’enjeu est énorme et l’ingéniosité de ces jeunes pousses révolutionne déjà le secteur immobilier. Mais de quoi parle-t-on quand on parle de l’immobilier ? Les startups de cette branche travaillent en fait sur chaque phase d’une opération immobilière, à savoir :
- Celle de la conception et de la construction du projet ;
- Celle de l’acquisition ;
- De la location, du bail professionnel et commercial ;
- De la gestion ;
- De la vente ;
- Du déménagement.
Pour le moment, nous voyons surtout beaucoup d’impacts dans les phases de conception et de gestion. Par exemple, de nombreuses plateformes d’investissement locatif clé en main ont vu le jour, ou encore des solutions 100 % en ligne de piloter la gestion locative de son logement, etc. Des logiciels de calcul de rentabilité d’un investissement immobilier ont été créés et sont désormais devenus des outils indispensables à bien des investisseurs financiers du secteur.
Enfin, les néo-agences immobilières commencent à voir le jour également, avec des honoraires bien plus concurrentiels que ceux pratiqués en agence classique, l’absence de locaux étant une cause majeure de cette prouesse commerciale.
Quoi qu’il en soit, le développement des entreprises de la proptech est une aubaine pour un investisseur en capital-investissement. En plus d’avoir l’opportunité de réaliser une plus-value selon les montants investis, votre apport de fonds vous permet de diversifier votre portefeuille, diminuant le risque de perte.
Participer à l’augmentation en capital de startups vertes
Au-delà de catégories assez cloisonnées de secteurs d’activités dans lesquels la création de valeur semble opportune et pérenne, il y a aussi une thématique au centre des préoccupations de toutes les industries et qui monte en puissance : la transition écologique. Le marché du capital-investissement est donc également animé par cette notion de prendre en considération l’impact environnemental dans la conception d’un nouveau produit, dans le processus d’embauche ou encore dans le développement des compétences.
Par exemple, vous pouvez réaliser une prise de participation en levée de fonds pour des projets de réhabilitation immobilière, de rénovation énergétique, de transformations à l’aide de matériaux recyclés, voire de création d’espaces de vie collectifs (coliving, coworking), etc. Ces projets font acte de l’éclosion récente de l’immobilier vert, et en réalité, c’est tout le système économique français et mondial qui est concerné par cette volonté de réduire les émissions carbones et de préserver une biodiversité optimum.
Le non coté surperforme les marchés publics en période de crise
L’environnement économique instable dans lequel nous sommes plongés depuis la crise sanitaire nous rappelle à tous comme il convient d’appliquer une stratégie d’investissement à horizon long terme. C’est en effet le seul moyen de tirer profit de la situation. Seulement, si l’on observe les tendances de marché en période de crise, on remarque que les fonds de private equity ont bien mieux réagi que les classes d’actifs négociées en bourse. Cela s’explique simplement par le financement de sociétés non cotées particulièrement intéressantes pour investir, car traitant de thématiques à l’échelle de l’économie réelle et de projets aux enjeux planétaires. En outre, le marché privé, qu’il s’agisse d’investir en venture capital, en capital développement ou en capital retournement, ne subit pas les variations erratiques des marchés publics.
Chez Anaxago, nous avons à cœur de vous proposer des fonds de private equity immobilier, composés uniquement de jeunes entreprises innovantes et expertes dans leur secteur, abordant toutes des thématiques d’avenir.
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