Cette semaine, bienvenue à tous les nouveaux lecteurs qui nous ont connu grâce à Snowball ! Merci pour votre inscription.
Pour ceux d’entre vous qui ne connaissent pas Snowball, c’est une des seules newsletters finances persos que je lis religieusement chaque semaine. J’ai suivi Yoann, son auteur, depuis ses tout débuts. Il a le don de décrypter avec énormément de pédagogie tous les investissements possibles et imaginables (bourse, immo, crypto, vins etc...), et beaucoup de flair pour présenter ce qui buzzera dans quelques mois. Vous pouvez pouvez vous abonner à la newsletter gratuite ici.
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Opportunité de la semaine
Ce sont les derniers jours de ce dossier ouvert à l’investissement sur Anaxago ET éligible au dispositif JEIR. En investissant dans des JEIR, vous pouvez réduire votre impôt sur le revenu à hauteur de 50%, pour des montants investis dans la limite de 100 000€ par foyer fiscal (50 000€ par personne). Pour découvrir le dossier de la société en question, qui a récemment rejoint le programme d’accélération d’Amazon, c’est par ici. Et pour en savoir plus sur le dispositif fiscal, qui a priori devrait être supprimé à partir de 2025, c’est par là.
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Gestion de Patrimoine
Hyper surprise de cet article des Échos du 8 octobre : des villes vendent leurs biens immobiliers sur leboncoin pour financer leurs dépenses courantes. Encore plus surprise quand la première bourgade mentionnée est un endroit que je connais bien pour sa proximité avec ma ville de naissance. Drôle d’époque. Cela dit, j’y vois, avec beaucoup d’optimisme, une opportunité de revaloriser le patrimoine des villes et loger les habitants sans passer par la construction de structures neuves à tout venant (ce dont ma région a clairement souffert ces dernières années). Affaire à suivre, mais l’article est là pour ceux d’entre vous que le sujet intéresserait...
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Art de Vivre
Grande excitation dans le monde de l’art ces derniers jours… Rebaptisée Art Basel Paris, la troisième édition parisienne de la foire suisse qui a remplacé la Foire internationale d’art contemporain (FIAC), occupait pour la première fois la nef majestueuse du Grand Palais entièrement rénové, premier évènement artistique à se tenir dans le vénérable musée depuis sa réouverture à l’occasion des jeux olympiques. Même les plus blasés en conviennent : la qualité est époustouflante, aussi bien dans le carré central colonisé par les cadors du marché, chez les jeunes de la section Emergence, et surtout dans le nouveau secteur Premise, avec notamment l’hommage rendu par la galerie Dina Vierny au marchand visionnaire Wilhelm Uhde. Centenaire du surréalisme oblige (je ne sais pas si vous avez eu l’occasion de passer au Centre Pompidou ?), plusieurs exposants braquaient le projecteur sur les grandes figures de ce mouvement avec un couple de femmes enlacé de Wifredo Lam chez Applicat Prazan et des petits dessins de Leonor Fini accrochés par Pace gallery. Je ne connais rien - ou pas grand chose - à l’Art Moderne, mais on m’a récemment parlé des artistes coréens Lee Ufan et Lee Bae, apparemment des très grosses stars, totalement inaccessibles et très conceptuels, mais j’ai adoré : très sobre et très expressif.
Tant qu’on parle d’Art Moderne, j’ai tellement ri à l’écoute de l’intervention hebdo de Lison Daniel sur France Inter et son personnage : Edith, conceptrice de catalogue de musée « je pratique le jonglage lexical, le diabolo du syntagme. Je me vois en fait comme traductrice : la plupart des mots simples sont sympathiques, mais ils ne font pas assez musée ». Si vous aussi, vous n’entendez rien aux cartels des musées d’art moderne, amusez-vous à créer le vôtre avec le générateur automatique de cartels du Palais de Tokyo. J’ai essayé pour la newsletter, et voici le résultat : « En substituant à l’ordonnancement de l’exposition par salles successives un cheminement en forme de dédale qui complexifie les perspectives, Caroline Dupont produit des dispositifs ambivalents, jouant sur les contrastes sémantiques pour dépeindre la complexité des réalités contemporaines, nous obligeant à la prise en compte encore plus effective du climax de cette intrigue conceptuelle sans développement ni résolution. » Je ris.
Ah et nouvelle petite pépite dans notre quartier ! Une adresse toute confidentielle, rue Taylor. C'est excellent, avec plein d'assiettes à partager et des plats du jour plus conséquents tout aussi bons. Bon côté vins, pas mal de trucs natures, pas vraiment ce que j'aime, mais le patron sait conseiller. Ils viennent à peine d'ouvrir, courrez y avant que ce soit rempli.
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La gamme Anaxago
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