Cette semaine sur Anaxago, un club deal venture capital ouvert encore pour quelques jours à la souscription.
Le deal est confidentiel, mais repose sur un sujet qui combine intelligence artificielle et décarbonation. Si le sujet vous parle, vous intrigue ou vous plait, je vous invite à consulter la documentation d’investissement complète juste ici.
Après une année 2024 en demi-teinte, la production de crédit immobilier confirme son rebond en janvier, selon les derniers chiffres de la Banque de France (9,9 milliards d'euros en janvier, soit un montant légèrement supérieur à la moyenne des dix derniers mois). Et l'optimisme domine chez les courtiers à l'approche du printemps. Plusieurs indicateurs sont au vert pour financer à crédit son projet immobilier. Les taux d'intérêt des prêts à l'habitat ont encore reculé en mars. Et de leur côté, les banques poursuivent leur politique commerciale offensive pour accompagner la demande des ménages. C’est le moment de s’intéresser aux évolutions du prix au mètre carré et MoneyVox vient de sortir un petit article bien complet comme on les aime avec tableau comparatif à télécharger.
Le marché des transactions immobilières s'est fortement contracté en 2023 et 2024 (750 000 transactions environ l'an passé versus 1 198 000 biens vendus dans l'ancien en 2021, selon les notaires). En cause, une remontée rapide des taux de crédit immobilier, passés de 1% à 4,50% en l'espace de 18 mois. Une situation qui a modifié le paradigme offre/demande. Les vendeurs se retrouvant pour la première fois depuis longtemps plus nombreux que les acheteurs, les prix ont baissé, parfois de manière importante. Ainsi, les prix des logements anciens ont fléchi de 5,50% entre mi-2023 et février 2024, selon la Fédération nationale de l'immobilier. Mais là encore, difficile, voire impossible, de faire des généralités. Certaines zones, à l'image du littoral ou de la montagne, continuent par exemple de voir les prix augmenter. N’hésitez pas à consulter l’article dans son intégralité pour connaitre les variations de prix de votre région ou votre ville !
Mercredi, j'avais la chance d’être invitée à l’Académie du Climat pour le lancement du dernier livre de Claire Desmares : La Belle Vie. Le livre sort le 20 mars aux Éditions First. C’est une maison que j’aime tout particulièrement : ils choisissent leurs auteurs avec beaucoup de soins et publient des livres qui sont toujours de très beaux moments (ils avaient notamment publié le tout premier livre du duo The Social Food qui est dans mon top 10 ever des livres de cuisine).
L'Académie du Climat est un lieu de réflexion, de rencontre, d'action et de formation autour des enjeux climatiques et écologiques. Fondée par la Mairie de Paris et située dans l'ancienne mairie du 4ᵉ arrondissement de Paris, elle a ouvert ses portes en 2021. C’était donc un lieu plus que propice pour la naissance de cet ouvrage qui se veut un manuel d’écologie positive, et le pari est plus que réussi. Les photos sont sublimes, toutes les recettes donnent envie, la simplicité et l’applicabilité des conseils rend la démarche écolo tellement déculpabilisante que c’est un plaisir à lire, franchement, c'est un ouvrage à mettre entre toutes les mains et sur toutes les tables basses de vos amis. Vous pouvez le commander ici auprès d’une librairie indépendante proche de chez vous !
Dans le cadre du lancement du livre, la soirée était consacrée à une conversation entre Claire Desmares et Mathieu Labonne, qui pilote la coopérative Oasis en France, l’organisation qui rassemble tous les écolieux du territoire. Un écovillage (ou écolieu, écohameau), est une agglomération rurale, ayant une perspective d'autosuffisance reposant sur trois axes : un modèle économique alternatif, une place prépondérante accordée à l'écologie et une vie communautaire active.
Non seulement j’ai appris un nombre de choses incroyables (même si j’avoue que j’ai eu un peu peur quand on m’a annoncé une conversation d’1 h 45 un mercredi soir…) mais surtout à la fin de la soirée, j'étais à deux doigts de tout plaquer pour m’installer au fin fond de la Beauce. Je ne plaisante qu’à moitié, la démarche des écolieux en France est fascinante, autant par leur contribution à la préservation du climat, et de la biodiversité, mais aussi pour le lien social et la culture de village qu’ils réinventent. Aujourd’hui, on compte à peu près 1500 écolieux en France, ce qui représente environ 25 000 habitants. La plupart de ces hameaux sont accessibles pour des séjours courts qui permettent souvent des prises de conscience, mais aussi un véritable projet de découverte éducatif pour les enfants notamment (mais pas que). Une belle soirée pleine d’espoir et de nouvelles idées !
Ce message s’adresse à tous les zinzins qui ont constamment 45 onglets ouverts sur leur ordi (il se reconnaitra) : combiner plusieurs activités numériques réduit nos performances et peut altérer nos capacités de concentration à long terme. Dans cet épisode du podcast Votre Cerveau, Séverine Erhel, enseignante-chercheuse en psychologie cognitive, explore comment le multitâche numérique surcharge notre attention. Les individus ne sont tout simplement pas capables de gérer plusieurs activités avec les écrans de manière efficace. Les capacités cognitives de l'homme sont limitées, même augmentées du numérique.
Ça, c'est vraiment le truc qui m’a fait le plus rire cette semaine, et pas seulement parce que 2025 EST MON ANNÉE : enfin celle du 250ᵉ anniversaire de la naissance de Jane Austen et donc c’est tout comme (bien sûr que je rêve d’une place aux bals qui seront organisés à Bath en septembre sur le thème de ses livres, tout est sold out, j'ai vérifié).
Mais revenons à nos moutons. La série Arte Les Influentes nous fait (re)découvrir les personnages féminins de la littérature à travers leurs réseaux sociaux (oui, je sais ça parait bizarre dit comme ça). De la Princesse de Clèves, à Nora de la Maison de Poupée, Jane Eyre à Don Elvire ou encore Antigone, les épisodes empruntent aux références numériques pour mieux faire résonner la parole de ces femmes de fiction ayant beaucoup à raconter sur leur réalité. En replongeant dans nos classiques, on perce à jour la portée engagée de ces récits de femmes iconiques de la littérature, toujours d’actualité. Derrière leurs écrans, leurs voix s’élèvent tantôt avec fraîcheur, liberté et parfois désespoir pour nous emmener dans leur quotidien qui semble alors bien plus proche du nôtre. Louise Duhamel, l’actrice qui prête ses traits et son langage châtié à cette minisérie, réalisait déjà depuis plusieurs années des petits sketchs à la sauce historique sur son compte Instagram. Une jeune femme à suivre !
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