Une newsletter dédiée à l'investissement et aux finances personnelles, chaque dimanche dans vos emails. Avec un zeste de lifestyle et recommandations gourmandes et culturelles pour agrémenter le tout !
Bienvenue dans cette première édition de mes chroniques estivales pour Anaxago. Une version allégée de mes chroniques hebdomadaires : une inspi piochée au hasard dans mes passions + une idée d'investissement maline, tous les dimanche matins de cet été dans votre boite mail. On démarre aujourd'hui avec l'Arlésienne...
L'OPPORTUNITÉ DE LA SEMAINE - Proptech en expansion
Démarrée comme une solution d'aide à la commercialisation et au suivi des ventes en VEFA pour les promoteurs (les fameuses ventes sur plan, qui prennent toujours plus de temps et créent une insatisfaction chronique chez les acheteurs dans le neuf), la proptech du jour a su évoluer en proposant rapidement une offre de courtage aux 30 000 clients qu'elle accompagne déjà. Simple, malin et en fait évident : équiper sa clientèle déjà "captive". Le pari est gagnant, depuis notre dernier investissement en 2019, son chiffre d'affaires a presque doublé chaque année et la société cible désormais un marché de plus de 600 M€ par an en France seulement.
Investir dans cette proptech c'est parier à la fois sur un secteur, un marché et une équipe qui innove en permanence pour s'adapter aux nouveaux enjeux de la construction et de l'environnement financier. Une pépite.
L'ARLÉSIENNE - Arles est elle la nouvelle Marseille ?
C’est parti pour la liste de mes week-ends fantasmés. Si là, maintenant, tout de suite j’en avais la possibilité (i.e. si je n’avais pas des jumeaux de 15 mois, du temps et une forme physique qui me permettrait de marcher plus de 5 minutes au soleil…) je prendrais illico un billet de train pour Arles. Ahhh déambuler dans des rues pittoresques écrasées de soleil, dormir là ou ici si vraiment je me lâche pour le week-end, en prendre plein les yeux aux Rencontres de la Photographie mais surtout ici avec une expo qui traite de l’identité et du vêtement, un sujet qui m’intéresse toujours, ou encore ici avec des photos sublimes de l’Inde du début des années 80 (cf. ci-dessus), et peut être même ici pour l’histoire de lutte et de rébellion qu’elle raconte si bien.
Je réserverai sans doute une table dans l’une de ces divines adresses : bistrot d’auteur ici, fruits de mer tout en finesse ici, planches coquines là. Je réserverai, pour finir sans doute sur la première placette dotée d’une fontaine accueillante et d’un bistro sans prétentions qui saura nous tendre les bras. Pour prolonger le plaisir on poussera certainement jusqu’aux terres de Camargue dont je garde un souvenir d’enfance émerveillé, et on passera sans doute la nuit là si on continue les craquages ou plutôt ici peut être moins snob et plus sauvage, à l’image de la région.
La grande question c’est : suis-je une parisienne qui fantasme l’arlésie comme tous les bobos ayant récemment envahi Marseille ? La réponse est sans doute oui, un peu. Dans tous les cas, profitez pour moi si jamais vous décidez de mettre en application ce petit programme…