#147 - Praliné

Praliné

Bonjour à tous,

Cette semaine, nous annoncions en grande pompe le lancement du contrat d’assurance-vie Anaxago Value en partenariat avec Generali. Certains d’entre vous le connaissaient déjà (cela fait plusieurs mois que nous le présentons en exclusivité à nos meilleurs clients).

Il s’agit d’une évolution majeure pour Anaxago et d’une opportunité unique pour nos investisseurs. Celle qui va permettre d’allier la performance du private equity immobilier (le contrat propose d’être investi dans le dernier millésime de notre fond maison qui sera donc investi en ce moment, des conditions de marché très favorables aux acheteurs…) et la liquidité d’un fonds euros Generali.

Pour plus d’informations, vous trouverez le communiqué dédié ci-dessous.

2023 n’est pas une année comme les autres, et notamment dans le secteur de l’investissement. Anaxago organise donc un webinar exceptionnel mardi 3 octobre à 18h : «Investir en 2023 : anticiper les retournements et saisir les bonnes opportunités».

Nous avons déjà plus de 500 personnes inscrites, pensez à réserver votre place.

Et côté venture capital, François Santi le partner en charge de nos investissements VC a récemment partagé les quelques choses importantes à savoir en cette rentrée quand on investit dans les Startups. Détails plus bas. 

L’opportunité de la semaine rassemble nos convictions les plus fondamentales dans le marché actuel : un engagement fort pour le bâtiment durable et un développement raisonné dans une zone en manque d’actifs neufs et bien construits. Un projet à 18 mois qui vaut la peine d’y jeter un coup d’œil.

Je me suis dernièrement abonnée à la newsletter de Constance Dovergne, une journaliste que je suivais sur Instagram, mais dont je lisais peu les articles. Deux épisodes plus tard, je suis conquise. Elle traite, avec un humour léger et une élégance modeste, énormément de sujet liés à l’art de vivre, mais on sent la plume fine et le cerveau qui marche vite et qui va chercher plus loin dans chaque idée, chaque conversation. C’est un plaisir.

C’est d’ailleurs chez elle que j’ai découvert cet excellent article qui revient sur trente ans de fashion week parisienne (ce n’est pas rien, l’un des évènements annuels les plus lucratifs pour la ville de Paris et la France). Les intervenants posent un regard érudit, sans filtre et jamais vieux con sur une industrie métamorphosée par les géants du luxe français et c’est un plaisir à lire. Oui la fashion week c’est en ce moment, on rigole bien cette semaine à Paris.

La Guerre de Troie a-t-elle eu lieu ? J'ai récemment déjeuné avec un pro de la gestion de patrimoine qui m’a conseillé cet excellent documentaire sur la véritable histoire de Troie, c’est vraiment passionnant. Le lien avec Homère, fiction versus réalité, etc. Une pépite.

Enfin, on savait leurs chocolats divins, mais personne ne m’avait jamais parlé de leurs barres chocolatées pralinées. Jusqu’à ce que ma belle-sœur ait l’idée extraordinaire de nous en offrir. C’est tellement bon que ça devrait être interdit. C’est aussi hors de prix. Mais si on ne devait en manger que très rarement (et c’est sans doute mieux), il faudra que ce soit celles-ci (j'ai la caramel cacahuètes et la sarrasin sésame noir dans le viseur...). Bonne nouvelle, ils livrent dans toute la France. Je vous souhaite un merveilleux dimanche.

Opportunité de la semaine

Un opérateur disposant d'une expertise sur le marché luxembourgeois ainsi qu'un réel savoir-faire dans les opérations de construction neuve avec une approche environnementale ambitieuse permettant de développer des actifs "best in class".

Anaxago a sélectionné cette opération qui constitue une réelle opportunité d’investir dans un financement de premier rang d’un projet de construction à proximité du quartier Cloche d’or ainsi que de Luxembourg-Ville aux côtés d’un opérateur disposant d’une expertise locale.

Sur le plan immobilier, les modalités administratives sont avancées puisque le permis de construire a été obtenu et purgé de tout recours. De plus, l’actif est pré loué à hauteur de 73 %. Enfin, un package de sûretés diversifiées permet une exposition limitée pour les investisseurs Anaxago.

En savoir plus pour investir ici !

Actualités

Anaxago lance un contrat d'assurance-vie avec Generali pour investir sur le private equity immobilier.

Les assurés auront accès au fonds maison Anaxago Society 2023 et au fonds euro Netissima, dans la limite de 40 % de leur allocation.

Anaxago Value vise à permettre à ses souscripteurs d'investir dans la stratégie de private equity immobilier.

Il sera composé du fonds commun de placement à risque (FCPR) Anaxago Society 2023, son dernier fonds maison positionné sur l'immobilier durable et de la rénovation énergétique. Le fonds « vise des opérations et des actifs situés en centre-ville de grandes métropoles avec un fort un potentiel de repositionnement et profitant du contexte réglementaire actuel : loi énergie climat, décret tertiaire et loi Zéro Artificialisation Nette », précise la société.

La rentabilité cible est de 7% par an (TRI net de frais de gestion) avec un horizon d'investissement de 5 ans (reconductible pour deux périodes d'un an) pour un montant final visé de 30 à 50 millions d'euros. En complément, les assurés pourront investir jusqu'à 40 % de leur portefeuille dans le fonds euro de Generali, Netissima.

Anaxgo Value sera accessible dès 10.000 euros, sans frais d'entrée, de sortie et d'arbitrage et disponible pour les personnes morales au travers d'un contrat de capitalisation qui complète la gamme de produits. En savoir plus.

Investissements

Le point de vue de François Santi : 8 choses observées dans l’univers du Capital-Risque en cette rentrée 2023

1. 2024 devrait être selon toute vraisemblance un cataclysme pour des géants français de la tech. Et c’est une mauvaise nouvelle pour tout le monde. Plus de série B/C/D/E, fin des bridges, et donc des modèles non rentables : cqfd.

2. « Rule of 40 is the new 3X Growth » : les premières pages de deck s’adaptent.

3. Lever un tour trop gros par rapport à ses résultats : un pari quitte ou double, un risque de se « brûler » chez certains VCs qui referment instantanément le dossier.

4. Bulle IA, Bulle Climat, laquelle explosera la première ?

5. Une startup qui lève 10 M€ doit être a minima vendue 5/7 ans plus tard plus de 500M€ pour justifier le métier de VC. Vous connaissez beaucoup de corporates français capables de débourser de telles sommes ? Non pas vraiment, d'où un focus de plus en plus fort sur le marché US, notamment pour le secteur de la Santé.

6.  La valorisation n'est plus le sujet central de discussion pour bon nombre de VCs : liquidation préférentielle oblige.

7. Les VCs vendent une marque, une expertise, un réseau. De plus en plus d'entrepreneurs font désormais leur due diligence et ne veulent pas de VCs toxiques ou inutiles.

8. Selon plusieurs banquiers, les IPOs devraient repartir fin 2024, début 2025. Ce serait une bonne nouvelle pour tout l’écosystème.

Grand Angle

Événement mythique chanté par Homère puis fixé par écrit sans doute au VIIIe siècle avant notre ère, la guerre de Troie n’a, bien sûr, pas eu lieu – ses protagonistes sont des personnages de fiction, et les splendeurs de la ville elle-même, telles que décrites par l’aède, sont, pour une grande part, sorties de son imagination. Mais, si la guerre de Troie n’a pas eu lieu, il reste que le grand poème épique n’est pas sorti du néant, et il n’est pas interdit d’y suspecter l’empreinte de faits historiques et d’en rechercher les traces ténues dans les archives du sol ou sur des tablettes d’argile. Cette quête est celle qu’entreprennent de raconter Laurent Portes et Gwyn William dans leur film, dans le sillage de générations d’archéologues qui n’ont pas pu entreprendre leurs fouilles sans avoir à l’esprit les rebondissements et les descriptions du poème homérique. Le documentaire est disponible en intégralité en français sur Vimeo. 

Image : Le cheval de Troie transporté dans la ville, vers 1760, Giovanni Battista Tiepolo, Londres, National Gallery

Art de vivre

Fashion week. L'article du magazine System dont je vous parle plus haut et en fait une conversation entre deux journalistes de modes très reconnus : Tim Blanks

et Cathy Horyn (ex-NY Times). Tous deux reviennent sur 30 ans de fashion week et d'évolution et surtout de financiarisation à outrance de l'industrie de la mode. C'est tout à fait instructif même pour moi qui n'y connais rien et qui voit bien l'importance que prend le secteur en France. Extrait :  

"Ces changements ont été largement centrés sur la dominance inébranlable des maisons de mode de luxe et des conglomérats parisiens. Et, bien sûr, il serait malhonnête et myope de ne pas reconnaître les nombreux avantages associés à tous ces profits et à cette expansion. L'industrie de la mode de luxe contribue désormais de manière significative au PIB de la France, et emploie plus d'un million de personnes à travers le pays, permettant aux savoir-faire artisanaux de perdurer et aux petites entreprises d'être sécurisées. Et, pendant le tumulte saisonnier de la mode, la Paris Fashion Week, on peut ressentir les vibrations d'une industrie riche à travers la ville, dans les restaurants et les hôtels complets, ainsi que dans les embouteillages causés par les flottes de véhicules de luxe à la disposition des participants rassemblés. [...] Avec le dixième anniversaire de System offrant l'occasion de réévaluer l'histoire récente de la mode, nous étions impatients de réunir Blanks et Horyn en conversation. [...] Pour jeter leur regard perspicace sur le 'grand tableau'. De Paris. De la Paris Fashion Week. Des impacts que l'industrie dans son ensemble a sur le design et les designers. De ce que cela signifie de diriger une entreprise de mode de plusieurs milliards d'euros. Ainsi que des effets plus larges que la mode a sur la crise climatique mondiale, l'inégalité sociale, et l'avenir de, eh bien, tout." Lire la suite de la conversation dans System (accès libre, en anglais).

À bientôt !