Health Tech
Rendre les systèmes de santé plus efficaces et faciliter le travail du personnel médical.
Des secteurs porteurs : Une spécialisation dans trois thématiques d’avenir.
Investir / Venture Capital
Clubdeal
Mode d’investissement
> 5 ans*
Horizon
Seed à la série C
Maturités
*Ces données sont fournies à titre indicatif et ne présentent pas de garantie de performance. Plus le taux est élevé, plus le risque de perte en capital ou d’impayé des intérêts est important. L'horizon d'investissement est fourni à titre indicatif et n'est pas contractuel.
Le Venture Capital, ou Capital-Risque, est une activité d'investissement dans des entreprises en phase de
démarrage ou de développement précoce. Les investisseurs en capital-risque injectent des capitaux dans ces jeunes
entreprises afin de stimuler leur croissance et leur développement. Ce type de financement est particulièrement
adapté aux entreprises innovantes à fort potentiel de croissance.
Le Venture Capital est considéré comme une activité risquée en raison de l'instabilité économique et de
l'incertitude entourant les jeunes entreprises. Il permet en contrepartie de viser des rendements élevés pour les
investisseurs lors de la cession de leurs participations.
Rendre les systèmes de santé plus efficaces et faciliter le travail du personnel médical.
Des secteurs porteurs : Une spécialisation dans trois thématiques d’avenir.
Apporter une réponse concrète aux enjeux liés au réchauffement climatique grâce à l’innovation.
Des secteurs porteurs : Une spécialisation dans trois thématiques d’avenir.
Accompagner la transformation digitale, enjeu de compétitivité pour les entreprises
Des secteurs porteurs : Une spécialisation dans trois thématiques d’avenir.
Dynamisme
Des opportunités centrées sur la recherche de performance pour dynamiser votre portefeuille
Diversification
De l’amorçage au développement, investissez dans des entreprises à différent niveau de maturité
Co-investissement
Des opportunités aux côtés et dans les mêmes conditions que les acteurs professionnels de l’investissement
Opération financée
Note ESG
8,3
Note d’engagement
Investissement CapHorn
1 500 000 €
Levée de fonds de 5 000 000€
Opération financée
Note ESG
6,7
Note d’engagement
Investissement CapHorn
4 000 000 €
Levée de fonds de 15 000 000€
Venture Capital
Investir dans une start-up, c’est s’associer à une aventure humaine, une gageure d’innovation et de talents. L’enjeu est d’accompagner ceux qui pensent et bâtissent notre monde de demain.
Equity
Créer un compteObjectif de rendement annuel cible. Ces données sont fournies à titre indicatif et ne présentent pas de garantie de performance.
Dès sa création, le financement d’une startup est primordial. Les fondateurs, leur réseau amical et familial (love money), dotent l’entreprise de ses premiers fonds propres. Ils sont nécessaires mais très rarement suffisants. À ce stade de développement, l’autofinancement ne permettant pas à la société d’accompagner sa croissance, les créateurs doivent se tourner vers d’autres sources de financement pour assurer le développement de leur entreprise :
De soutiens publics, tel que la Banque Publique d’Investissement, Bourse French Tech, Régions...
Publics ou privés d’innovation ou de création d’entreprise.
Prêts bancaires classiques, obligations convertibles...
Fonds de venture capital qui prennent une participation dans l’entreprise.
Les 2 premières sources de financement étant limitées, et l’emprunt auprès d’établissements bancaires contraints par les garanties exigées, le capital-risque est devenu incontournable pour les entreprises innovantes.
Deux termes fréquemment confondus sont le capital-risque (ou venture capital) et le capital-investissement (private equity). Bien que ces deux concepts soient liés, il est important de comprendre leurs différences pour les investisseurs, les entrepreneurs et les professionnels de la finance.
Le capital-investissement, également connu sous le nom de private equity,
fait référence
aux fonds d'investissement qui acquièrent et gèrent des participations dans des entreprises existantes.
Au lieu d'acheter des actions de sociétés cotées en bourse, les sociétés de capital-investissement
investissent dans des entreprises privées ou retirent des entreprises de la cote. L'objectif est
d'améliorer, de développer et de revendre ces entreprises avec un bénéfice.
Les stratégies utilisées peuvent inclure :
Opération financée
Startup & PME
Le capital-risque est une branche du capital-investissement qui se concentre
sur les investissements dans des startups ou des entreprises en croissance rapide. Ces investissements
sont à haut risque, mais offrent un potentiel de rendement plus élevé. Les investisseurs en
capital-risque fournissent des fonds en échange de participations, dans l'espoir que ces startups
deviennent très rentables à l'avenir ou que leurs parts se valorisent.
Les investissements en capital-risque se caractérisent généralement par :
Il est important de comprendre les caractéristiques clés du venture capital (ou capital-risque) pour prendre des décisions éclairées en tant qu'investisseur ou entrepreneur.
Le capital-risque se concentre sur les startups et les entreprises en développement qui ont un fort potentiel de croissance. Les investisseurs en capital-risque prennent généralement une participation minoritaire dans ces entreprises.
Les investisseurs en capital-risque se concentrent principalement sur les secteurs à forte croissance tels que la technologie, les biotechnologies et les énergies alternatives. Ils recherchent des entreprises innovantes avec un fort potentiel de développement.
Les sociétés de capital-risque sont conscientes que la plupart des startups échoueront, mais elles recherchent une entreprise qui connaîtra une croissance exponentielle et générera un rendement élevé pour compenser les pertes des autres investissements.
Les investissements en capital-risque sont généralement de moins de 10 millions d'euros. Cependant, certains fonds de capital-risque peuvent investir davantage selon le potentiel de croissance d'une entreprise. En comparaison, dans d’autres secteurs du private equity, les investissements peuvent atteindre plusieurs millions, voire plusieurs milliards d'euros.
Les fonds de capital-risque ont généralement un horizon de liquidités plus court que le private equity traditionnel, avec une sortie prévue après environ 4 ans. Ils cherchent à investir dans des entreprises en croissance rapide qui peuvent atteindre rapidement une valeur élevée.
Les investisseurs en capital-risque fournissent principalement des capitaux propres aux entreprises dans lesquelles ils investissent.
Les investisseurs en capital-risque apportent souvent des conseils, un soutien stratégique et un réseau de contacts aux startups dans lesquelles ils investissent. Ils peuvent également surveiller les dépenses de trésorerie et aider les entrepreneurs à prendre les bonnes décisions stratégiques.
Le capital-développement est une forme de capital-investissement destinée aux
entreprises qui ont déjà atteint un certain niveau de rentabilité et qui souhaitent passer à une
nouvelle étape de leur développement. Contrairement au capital-risque, le capital-développement
s'adresse à des entreprises plus matures, qui ont déjà démontré leur viabilité commerciale.
Les investisseurs en capital-développement fournissent des fonds propres ou quasi-fonds propres à ces
entreprises, leur permettant d'augmenter leurs capacités de production, d'améliorer leurs activités de
vente, de développer de nouveaux produits et services, de financer des acquisitions ou d'accroître leur
fonds de roulement. Ces investissements visent à soutenir la croissance et l'expansion des entreprises
déjà établies, en leur donnant les moyens financiers nécessaires pour atteindre leurs objectifs de
développement.
Le capital-transmission intervient lors de la cession ou du rachat d'une
entreprise. Il s'agit d'une forme de capital-investissement qui vise à faciliter la transmission
d'entreprises familiales ou à soutenir leur redressement en cas de difficultés financières. Les
investisseurs en capital-transmission peuvent être les dirigeants de l'entreprise ou des investisseurs
extérieurs, tels que des fonds d'investissement.
L'objectif du capital-transmission est de permettre la continuité de l'entreprise tout en offrant une
sortie aux actionnaires sortants. Il peut être réalisé sous différentes formes, telles que des
opérations de rachat d'entreprise par les dirigeants (management buy-out), des opérations de rachat par
des investisseurs extérieurs (buy-in), ou des opérations de transmission familiale. Les investisseurs en
capital-transmission apportent non seulement des fonds, mais également leur expertise en matière de
gestion et de redressement d'entreprise, afin d'assurer la pérennité et la croissance de l'entreprise.
Également connu sous le nom de capital restructuration, il intervient lorsque
l'entreprise traverse une crise financière ou opérationnelle et nécessite un soutien financier pour se
redresser. Les investisseurs en capital retournement injectent des fonds propres dans l'entreprise en
difficulté, afin de lui permettre de surmonter ses problèmes et de retrouver une situation financière
saine.
L'objectif du capital retournement est de restructurer l'entreprise en difficulté, en mettant en place
des mesures correctives pour améliorer sa rentabilité et sa compétitivité. Les investisseurs en capital
retournement peuvent également apporter leur expertise en matière de gestion et de restructuration
d'entreprise, afin d'accompagner l'entreprise dans sa phase de redressement.
Les startups connaissent différents stades de maturité au cours de leur parcours. De leur phase initiale de développement à leur expansion à grande échelle, ces étapes jouent un rôle crucial dans la progression et la réussite de l'entreprise. Dans cet article, nous explorerons en détail les différentes étapes de maturité des startups, en mettant l'accent sur les phases de pré-amorçage, de seed, de série A, de série B et de série C.
01.
La phase de pré-amorçage, également connue sous le nom de capital amorçage, marque les premiers pas d'une startup vers la réalisation de son idée. À ce stade, l'entreprise est encore en phase de recherche, de développement et de mise au point de son produit ou service. Les besoins de financement se concentrent notamment sur les salaires, les équipements et les dépenses de fonctionnement. Les montants levés lors de la phase de pré-amorçage sont généralement de l'ordre de quelques centaines de milliers d'euros. Les investisseurs à ce stade sont souvent des amis, des membres de la famille (love-money), des business angels ou des fonds de capital-risque.
02.
La phase de seed, ou premier tour de table, intervient lorsque la startup a finalisé son produit ou service et est prête à le lancer sur le marché. Les fonds levés lors de cette étape sont principalement destinés à financer l'acquisition de clients, le recrutement d'équipes de vente et de support, ainsi que les autres dépenses liées à l'activité de l'entreprise. Les montants levés lors de la phase de seed varient généralement de quelques centaines de milliers d'euros à un million d'euros.
03.
La phase de série A marque une étape clé dans la croissance de la startup. À ce stade, l'entreprise a déjà un produit ou service sur le marché et génère un chiffre d'affaires. L'objectif de la série A est d'accélérer la croissance de l'entreprise et de tendre vers la rentabilité. Les fonds levés lors de cette étape sont utilisés pour développer l'activité à l'échelle nationale, voire internationale. Les montants levés lors de la série A varient généralement de quelques millions d'euros.
04.
La phase de série B intervient après la série A et vise à consolider la position de l'entreprise sur le marché. À ce stade, l'entreprise a déjà une certaine traction et un modèle économique cohérent. Les fonds levés lors de la série B sont principalement utilisés pour l'expansion de l'entreprise, que ce soit par le biais d'internationalisation, d'acquisitions ou d'intégrations verticales. Les montants levés lors de la série B peuvent atteindre plusieurs dizaines ou centaines de millions d'euros.
05.
À ce stade, l'entreprise peut continuer à croître rapidement, attaquer de nouveaux marchés et avoir une stratégie agressive envers ses concurrents. Les montants levés lors de la série C peuvent aller de quelques dizaines à des centaines de millions d'euros. Les investissements à ce stade sont généralement réalisés par des fonds spéculatifs et marquent souvent le moment des introductions en bourse.
Chaque phase de financement correspond à des objectifs spécifiques et nécessite une stratégie adaptée. En comprenant les caractéristiques et les besoins de chaque étape, les entrepreneurs et les investisseurs peuvent prendre des décisions éclairées pour soutenir la croissance et la progression des startups.
Le processus de capital-risque implique plusieurs étapes clés. Tout d'abord, une jeune entreprise en recherche
de financement soumet son projet à des investisseurs en capital-risque. Ces investisseurs, souvent des fonds
spécialisés ou des business angels, étudient le potentiel de croissance de l'entreprise et évaluent les
risques associés.
Si le projet est jugé prometteur, les investisseurs entament une phase de négociation avec l'entreprise. Ils
déterminent les conditions de l'investissement, telles que le montant des fonds à investir, la part de capital
à acquérir et les éventuels droits de décision dans la gestion de l'entreprise.
Une fois les négociations finalisées, les investisseurs fournissent les fonds à l'entreprise en échange d'une
participation au capital. Cette injection de capital permet à l'entreprise de financer ses opérations, de
développer ses produits ou services, d'élargir sa clientèle et de poursuivre sa croissance.
Le processus d'investissement en capital-risque comporte plusieurs étapes clés. Voici les principales :
01.
La première étape du processus consiste à identifier des opportunités d'investissement intéressantes. Les investisseurs en capital-risque utilisent différentes méthodes pour repérer ces opportunités, telles que la veille médiatique, les bases de données de startups, les rencontres et les recommandations de leur réseau professionnel. L'objectif est d'identifier des entreprises prometteuses avec un fort potentiel de croissance.
02.
Une fois les opportunités d'investissement identifiées, les investisseurs en capital-risque procèdent à une évaluation approfondie de chaque entreprise. Cette évaluation comprend une analyse de l'équipe dirigeante, du modèle commercial, du marché cible, des perspectives de croissance et de la concurrence. Les investisseurs peuvent également rencontrer les fondateurs de l'entreprise pour mieux comprendre leur vision et leur stratégie.
03.
La due diligence est une étape essentielle du processus d'investissement en capital-risque. Elle implique une vérification approfondie de tous les aspects de l'entreprise, tels que les états financiers, les contrats, les brevets, les litiges en cours, les aspects juridiques et les risques potentiels. Cette étape est souvent réalisée en collaboration avec des experts externes, tels que des avocats et des comptables, pour garantir une évaluation objective de l'entreprise.
04.
Une fois que les investisseurs ont décidé d'investir dans une entreprise, ils entament des négociations sur les termes de l'investissement. Cela comprend la valorisation de l'entreprise, les droits des actionnaires, les modalités de gouvernance et les mécanismes de sortie potentiels. Les investisseurs cherchent à obtenir les meilleures conditions possibles pour protéger leur investissement et maximiser leur retour sur investissement.
05.
Une fois les termes de l'investissement convenus, les investisseurs procèdent à la clôture de l'investissement. Cela implique la rédaction et la signature des documents juridiques, tels que les accords d'investissement, les statuts de l'entreprise et les accords de gouvernance. Une fois cette étape terminée, les fonds sont transférés à l'entreprise et l'investissement est officiellement réalisé.
06.
Après l'investissement, les investisseurs suivent de près l'évolution de l'entreprise. Ils participent généralement aux réunions du conseil d'administration et fournissent un soutien opérationnel et stratégique à l'entreprise lorsque cela est nécessaire. Les investisseurs surveillent les performances financières de l'entreprise et travaillent en étroite collaboration avec l'équipe dirigeante pour maximiser la valeur de leur investissement.
07.
La sortie de l'investissement est l'étape finale du processus d'investissement en capital-risque. Elle intervient lorsque l'entreprise atteint un stade de développement suffisamment avancé pour permettre aux investisseurs de réaliser un retour sur investissement. Les options de sortie comprennent la vente de la participation à un autre investisseur, l'introduction en bourse de l'entreprise ou son acquisition par une autre entreprise.
Le Venture Capital joue un rôle essentiel dans l'écosystème des startups en
fournissant les ressources financières nécessaires à leur développement. Il permet aux jeunes
entreprises innovantes de concrétiser leurs idées, de développer leurs produits ou services et de
s'implanter sur le marché.
En plus du financement, le capital-risque offre aux entrepreneurs un accompagnement et des conseils
précieux. Les investisseurs en capital-risque apportent leur expertise, leur expérience et leur réseau
de contacts pour aider les startups à surmonter les défis et à maximiser leurs chances de réussite.
Enfin, le Venture Capital favorise l'innovation, la création d'emplois et la croissance économique. Il
encourage les entrepreneurs à prendre des risques et à développer de nouvelles idées, ce qui contribue à
dynamiser l'économie et à créer de la valeur.
01.
L'histoire du capital risque remonte à bien avant le XXe siècle. En fait, des formes de financement risqué existaient déjà au XVe siècle, où des monarques, des investisseurs et des riches industriels finançaient des projets incertains. Toutefois, le concept de capital risque tel que nous le connaissons aujourd'hui n'a réellement émergé qu'au XXe siècle.
02.
Après la Seconde Guerre mondiale, le capital risque commence à se formaliser en tant qu'industrie à part entière. C'est à cette époque que Georges Doriot, un investisseur français ayant étudié à Harvard, devient l'un des premiers venture capitalists. Dans les années 1940 et 1950, Doriot investit dans de jeunes entreprises prometteuses, posant ainsi les bases du capital risque moderne.
Le développement du capital risque est favorisé par l'accumulation de capitaux aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale. Ces capitaux trouvent leur place dans de nouvelles entreprises investissant dans des startups. Cela permet de financer des projets innovants et favorise la croissance économique.
03.
Les années 1990 sont une période de croissance fulgurante pour le capital risque aux États-Unis. Le succès de la bourse de croissance Nasdaq stimule les investissements dans les jeunes entreprises, notamment dans le domaine de la technologie. Des sociétés emblématiques comme AOL, Amazon, Yahoo et eBay sont financées grâce au capital risque. Les biotechnologies bénéficient également de cet engouement, avec des sociétés telles que Amgen, Genentech et Decode Genetics.
Au début du XXIe siècle, les fonds levés par les sociétés de capital risque connaissent une augmentation significative. En 2004, environ 20,9 milliards de dollars sont mobilisés, dont une part importante dans le cadre de seed rounds, qui permettent de financer les jeunes entreprises dès leur création.
04.
Le capital risque ne se limite pas aux États-Unis. Il est également présent dans d'autres pays, notamment au Canada, en Chine, au Japon et en Europe.
Au Canada, le capital risque se développe dans les années qui ont suivi son émergence aux États-Unis.
En Chine, le capital risque fait son apparition en 1985. Initialement entièrement public, il vise à reproduire les succès américains dans ce domaine. Le Japon s'est également inspiré des pratiques américaines pour développer son secteur de capital-risque. Toutefois, les investissements par capital risque au Japon restent relativement faibles par rapport aux États-Unis.
En Europe, les investissements dans le capital risque ont considérablement augmenté ces dernières années. En France, par exemple, les capitaux investis ont connu une hausse significative avec 758 millions d'euros investis dans 499 sociétés en 2015.
05.
Le marché du Venture Capital connaît une croissance significative ces dernières années. Aux États-Unis, le marché du VC est particulièrement dynamique, avec de nombreux fonds et investisseurs actifs dans la Silicon Valley. En France, le marché du capital-risque se développe également rapidement, soutenu par des entrepreneurs à succès tels que Xavier Niel et Marc Simoncini.
Les montants investis en Venture Capital varient considérablement, allant de quelques milliers d'euros à plusieurs millions d'euros. Ces montants dépendent des besoins de l'entreprise, du stade de développement et du potentiel de croissance.
Les fonds de Venture Capital sont les principaux acteurs du capital-risque. Ce sont des fonds
d'investissement spécialisés dans le financement des startups et des entreprises en phase de
développement précoce. Ces fonds lèvent des capitaux auprès d'investisseurs institutionnels, de family
offices et de particuliers fortunés, et les investissent dans des startups prometteuses.
Il existe différents types de fonds de Venture Capital, tels que les fonds de capital-risque
généralistes, qui investissent dans divers secteurs d'activité, et les fonds de capital-risque
spécialisés, qui se concentrent sur des domaines spécifiques tels que la technologie, la santé ou les
énergies renouvelables.
Les fonds de Venture Capital jouent un rôle crucial dans le financement des startups, en leur
fournissant les ressources financières nécessaires à leur développement. Ils apportent également un
soutien stratégique et opérationnel, en aidant les entrepreneurs à développer leur entreprise, à
structurer leur équipe et à accéder à leur réseau de contacts.
Le Corporate Venture est une forme de capital-risque dans laquelle des grandes entreprises investissent
directement dans des startups. Cela leur permet d'accéder à de nouvelles technologies, d'innover et de
rester compétitives sur leur marché.
Le Corporate Venture présente des avantages pour les grandes entreprises, telles que l'accès à des
innovations technologiques, l'acquisition de nouvelles compétences et l'accès à de nouveaux marchés.
Pour les startups, cela peut représenter une opportunité de bénéficier du soutien financier et
stratégique d'une grande entreprise, ainsi que de tirer parti de son réseau de clients et de
partenaires.
Un Business Angel est une personne physique qui investit son propre argent dans des startups en
développement. Souvent, ils interviennent dès le début de l'aventure entrepreneuriale, lors des phases
de pré-amorçage ou d'amorçage. Les Business Angels apportent non seulement des fonds, mais aussi leur
expérience, leur réseau et leurs conseils pour aider la startup à réussir. Ils jouent un rôle clé dans
l'écosystème des startups en France.
Les Business Angels sont souvent plus flexibles que les fonds de capital-risque. Ils peuvent prendre des
décisions plus rapidement et sont prêts à investir dans des entreprises à un stade plus précoce de
développement. Leur expérience personnelle en tant qu'entrepreneurs peut être extrêmement précieuse pour
les startups, car ils comprennent les défis auxquels elles sont confrontées et peuvent fournir des
conseils pratiques.
Investir dans une start-up, c’est s’associer à une aventure humaine, une gageure d’innovation, de talents et
de maitrise financière et juridique. L’enjeu est d’accompagner ceux qui pensent et bâtissent notre monde de
demain.
Investir dans une jeune entreprise innovante, c’est avant tout adhérer à une « vision » qui se fonde sur une
rupture technologique, sur un nouveau marché, sur un nouveau process ou mode d’organisation. De façon
corolaire, répondre au besoin de financement d’une start-up, qui le plus souvent ne possède pas ou très peu
d’actifs corporels, mais qui offre des perspectives de forte croissance, demeure un acte volontaire qui
présente des risques.
L'une des principales raisons d'investir dans le capital-risque d'entreprise est l'accès à des opportunités d'investissement pré-IPO très compétitives. Le nombre d'entreprises cotées en bourse aux États-Unis a atteint son apogée à la fin des années 1990 et a depuis diminué de manière constante. Si vous investissez exclusivement sur les marchés publics, cela pourrait ne pas être une bonne nouvelle pour vous. De nombreuses entreprises connaissent maintenant leur "hyper-croissance" alors qu'elles sont encore privées (c'est-à-dire avant leur introduction en bourse). Des entreprises telles que Slack, Lyft et Uber sont quelques exemples de sociétés ayant connu une croissance exceptionnelle sur le marché privé et des introductions en bourse décevantes. Aujourd'hui, il n'est pas rare que les entreprises fassent leur introduction en bourse avec des valorisations allant d'un milliard à plusieurs dizaines de milliards de dollars. Si vous attendez l'introduction en bourse pour investir, cela peut être une manière difficile de gagner de l'argent. Le capital-risque offre un accès aux opportunités privées, pré-IPO, lorsque les valorisations sont plus basses, ce qui se traduit par des rendements supérieurs à ceux obtenus en investissant uniquement après l'introduction en bourse des entreprises.
La diversification de votre portefeuille sur des classes d'actifs alternatives telles que le capital-risque et l'immobilier peut également être bénéfique. Le capital-risque ne présente pas la même volatilité à court terme que les marchés cotés. Les rendements du capital-risque ont historiquement été solides et ont une corrélation faible avec les rendements des actions. Selon Cambridge Associates, il est recommandé aux investisseurs institutionnels de consacrer jusqu'à 15 % de leur portefeuille à des entreprises privées en phase de démarrage à fort potentiel de croissance.
Investir dans le capital-risque signifie investir dans des acteurs du changement, des innovations de haute technologie et des modèles économiques perturbateurs. Voici quelques exemples de startups financées par les investisseurs d’Anaxago :
Les investisseurs personnes physiques, domiciliées fiscalement en France, peuvent bénéficier, sous certaines
conditions, de différents mécanismes et enveloppes fiscales.
Les entreprises faisant l’objet de ces investissements doivent toutefois se situer dans l’Espace Economique
Européen élargi et satisfaire des conditions d’éligibilité.
L’entreprise doit répondre à certaines conditions dont :
Actuellement, le plafond de la réduction (12 500 €), pour investir dans des startups correspond à un investissement maximal de 50 000 €, pour une personne seule. Pour en savoir plus sur ce mécanisme, consultez notre page dédiée : réduire son impôt sur le revenu en investissant dans une startup .
Investir dans une start-up via ces fonds, au même titre que le dispositif IR-PME, ouvre droit à une réduction de 18 % (ou 25 %), dans la mesure où ils sont investis en titres de sociétés innovantes non cotées en bourse, à hauteur minimum de :
Actuellement, le plafond de la réduction par catégorie (2 160 €), correspond à un investissement maximal de 12 000 €, pour une personne seule. Ces réductions sont octroyées dans la limite du plafond annuel des niches fiscales de 10 000 € par an et par foyer fiscal.
Toute personne physique, domiciliée fiscalement en France qui s’engage à conserver ses titres pendant 5 ans, bénéficie d’une exonération de l’impôt sur le revenu sur les revenus et plus-values réalisées. Depuis la loi PACTE, la plupart des titres proposés pour investir dans une start-up, y sont éligibles :
Anaxago a développé une forte expertise dans le domaine de l’investissement en capital dans de jeunes sociétés, notamment dans les secteurs innovants de la santé, de la finance et de la « proptech ». Nous négocions opération par opération des conditions juridiques préférentielles afin de protéger vos intérêts. Notre part de responsabilités dans la sélection de projets proposés au Club Investisseurs se traduit par un investissement de nos capitaux dans chaque aventure entrepreneuriale retenue.
Le risque de perte totale ou partielle du capital est une réalité, avec un nombre significatif de startups qui ne parviennent pas à survivre sur le long terme. Les investisseurs doivent donc être préparés à cette éventualité et investir des fonds qu'ils peuvent se permettre de perdre.
Les fonds investis dans des entreprises en démarrage sont souvent bloqués pour une période prolongée, parfois jusqu'à 10 ans. Cela signifie que les investisseurs ne peuvent pas facilement convertir ces investissements en cash en cas de besoin, ce qui peut poser des problèmes en cas de changements imprévus dans leurs situations financières personnelles.
Les tendances du marché et les évolutions sectorielles peuvent avoir un impact significatif sur les investissements en VC. Par exemple, un changement technologique majeur dans un secteur donné peut rendre obsolètes certaines startups. De même, les fluctuations économiques globales peuvent affecter le financement et la croissance des entreprises en démarrage.
La réussite d'une entreprise en démarrage dépend fortement de ses fondateurs et de son équipe de gestion. Un risque majeur pour les investisseurs en VC est donc la dépendance à une petite équipe, qui peut manquer d'expérience dans la gestion d'une entreprise à grande échelle. Les changements dans cette équipe peuvent également affecter de manière significative les performances de l'entreprise.